Résumé :
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Sollers parle de Mozart avec enthousiasme et érudition ludique. Il retrace la vie du génie sans apprendre grand chose, mais en s'amusant de jeux de mots, jeux de mains. C'est léger, sans grande ambition, parfois un peu démonstratif, vivifiant à la manière du compositeur... Un grand mérite de Sollers est de réhabiliter la grandeur magnifique de l'esprit des lumières, d'éclairer le faux classique qu'est Mozart par le biais de sa fabuleuse complexité dans la démesure. Sollers aime l'esprit, fait la guerre au gout, son Mozart n'est pas indispensable, mais très plaisant !
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